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Steffen Julie

Steffen Julie

Compétences principales

Phytosociologie

Ecologie urbaine

Restauration

Biodiversité végétale

Bryologie

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  • Publications

Contrat principal

Bureau: Bureau n°2

Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève
Rue de la Prairie 4, 1202 Genève, CH
hepia
Domaine
Chimie et sciences de la vie
Filière principale
Gestion de la nature
BSc HES-SO en Gestion de la nature - Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève
  • Floristique
  • Botanique systématique
  • Plan d'action flore
  • Bryologie
  • Ateliers interdisciplinaires

Terminés

TEXTS (Toitures EXTensives Solaires).
AGP

Rôle: Collaborateur/trice

Financement: HES-SO Rectorat; 519,Economie d'entreprise; INSIT; Commune de Meyrin; IIDE; hepia inSTI; SIG; Eltel SA; OCAN; Lightswing Solar Sàrl; HEPIA inTNP

Description du projet : En cet été 2022, les ilots de chaleur urbains se multiplient et les recherches de solutions pour en atténuer les conséquences deviennent impératives. Dans ce contexte, les toitures des bâtiments (environ 20 % des surfaces urbaines) constituent des espaces-clé d'une inéluctable mutation sociétale. Grâce aux projets menés ces dernières années, des toitures solaires végétalisées pilotes ont été développées à Genève. Elles comprennent différents types de panneaux solaires, matériaux recyclés et espèces végétales indigènes. Tirer les enseignements précis de ces réalisations en quantifiant leurs plus-values environnementales, énergétiques et biologiques, leurs coûts et leur acceptabilité sociétale pour permettre leur diffusion, est l'enjeu du projet TEXTS.

Equipe de recherche au sein de la HES-SO: Bollinger Dominique , Coupy Ivan , Weber Sylvain , Steffen Julie , Heiniger Charlène , Prunier Patrice , Pochon Eléonore , Renaud Ewa , Mörch Fabienne , Beringhs Antonin , Ribard Matthïas , Wanzenried Gabrielle

Durée du projet: 01.01.2023 - 31.12.2023

Montant global du projet: 218'060 CHF

Statut: Terminé

Fleurs locales.
AGP

Rôle: Collaborateur/trice

Financement: Ville de Lausanne; Société d'Economie Alpestre de Haute Savoie; INTERREG Fédéral; DETA Onex; Domaine du Giffre Samoens; Groupe MEAC SAS; INTERREG Vaud; DETA-DGAN; Ville de Genève; HEPIA inTNP

Description du projet : Présentation et objectifs: Proposition et suivi de végétalisation de toiture de manière écologique. Elaboration d'associations de plantes locales adpatées et mise en place d'aménagements favorables à la biodiversité. Début: 15.12.2015 Fin: 31.12.2018. Intérêt et pertinence: Le projet répond à une demande externe (ville et canton de Genève) pour réaliser des toitures végétalisées favorables à la biodiversité. Il concorde également à la mise en place de références en lien avec le programme Nature et ville ouvert par la HES et sera intégrer dans le projet Interreg V en cours de développement. Il est en lien avec d'autres projets de recherche appliquées tels que SEED ou TVEG.

Equipe de recherche au sein de la HES-SO: Huber Laurent , Pénault Ravaillé Millo , Steffen Julie , Orange Nicolas , Boissezon Aurélie , Heiniger Charlène , Sthioul Hervé , Richard Jacques , Frossard Pierre-André , O'rourke Jane , Amos Eric , Prunier Patrice , Renaud Ewa

Partenaires professionnels: Omya (Schweiz) AG

Durée du projet: 01.01.2016 - 31.12.2019

Montant global du projet: 291'173 CHF

Statut: Terminé

Développement de mélanges grainiers adaptés à la Suisse romande pour toitures et murs végétalisés favorables aux insectes pollinisateurs et mise au point d'une technique de végétalisation avec des fougères et des mousses.
AGP

Rôle: Collaborateur/trice

Requérant(e)s: hepia inTNE, Prunier Patrice, hepia inTNE

Financement: HES-SO Rectorat

Description du projet : Les habitats secondaires créés par l'Homme, tels que les toits et les murs en pierres, offrent des refuges aux espèces végétales et aux arthropodes. Liées aux substrats minéraux (dalles, rochers), les communautés végétales spontanées que l'on y observe comprennent une part importante de plantes sans fleurs (fougères et mousses) ou de plantes à fleurs spécialisées, actuellement peu ou pas disponibles chez les semenciers régionaux. Une part importante d'espèces exotiques d'origine horticole ou issues d'une colonisation spontanée est également présente sur ces structures. Cette situation n'est pas toujours compatible avec les principes de conservation et la réglementation en vigueur qui recommande l'utilisation d'espèces indigènes. L'entomofaune observée sur ces milieux est constituée de groupes écologiques variés (prédateurs, décomposeurs, pollinisateurs). Toutefois, l'augmentation de la part de plantes à fleurs à fort contenu en pollen favoriserait les espèces mellifères en milieu urbain. Ces différents constats soulignent le potentiel d'augmentation de la naturalité de ces habitats secondaires et l'importance de développer une filière d'approvisionnement régionale en végétaux indigènes. Ils amènent à formuler les questions suivantes : quelles espèces structurantes de végétaux indigènes rendre disponible sur le marché grainier ? Parmi celles-ci, lesquelles sont les plus favorables aux insectes pollinisateurs en ville ? Quelles sont leurs conditions optimales de germination ? Quels mélanges grainiers pourraient être mis en 'uvre pour favoriser le développement de cette biodiversité ? Quelles techniques de semis développer sur les murs en pierre ? Le présent projet s'inscrit dans la continuité des projets «TVEG» et «WallNat». Il se propose de répondre à ces questions en : - initiant la culture de végétaux indigènes structurants non disponibles sur le marché ; - identifiant leurs conditions optimales de germination ; - testant une technique d'implantation de plantes sans fleurs sur les murs en pierres ; - testant le développement de mélanges grainiers d'espèces indigènes peu exigeantes sur des toitures au substrat constitué de rebus d'excavation ou recyclés et en observant la réaction de l'entomofaune associée (notamment les abeilles). Les partenaires de ce projet sont la société productrice de semences (OH samen), la Direction Générale Nature et Paysage du canton de Genève, les Mutuelles des Etudes Secondaires et la ville de Lausanne.

Equipe de recherche au sein de la HES-SO: Rochefort Sophie , Boivin Pascal , Steffen Julie , Frossard Pierre-André , Amos Eric , Prunier Patrice , Renaud Ewa

Partenaires académiques: hepia inPACT; hepia inTNE; Prunier Patrice, hepia inTNE

Durée du projet: 01.10.2015 - 31.12.2017

Montant global du projet: 170'000 CHF

Statut: Terminé

Mise en oeuvre de surfaces végétalisées adaptées aux changements climatiques en milieu urbain dense.
AGP

Rôle: Collaborateur/trice

Financement: HES-SO Rectorat; INSIT; hepia inTNE; Socle VD Ra&D; Canton de Genève (DGNP, OCEN et DGE); hepia inTNE

Description du projet : "Le changement climatique et la densification des villes se conjuguent en termes de risque urbain (chaleur, inondations, perte de biodiversité). Les toitures végétalisées (TV) constitueraient une mesure palliative efficace pour la santé et l'environnement. Toutefois, les bénéfices des TV sur la qualité thermique, le risque hydrologique ainsi que sur la biodiversité, n'ont pas été évalués. Un diagnostic environnemental ainsi qu'une évaluation des performances de ces infrastructures sont urgents afin de proposer des outils adaptés aux acteurs du développement territorial. Ce projet vise à élaborer des outils décisionnels et de planification tenant compte de l'interaction entre les facteurs climatiques, thermiques et écologiques afin de décliner une meilleure implantation et garantir une efficacité optimale des TV. Il vise également à établir comment intégrer les TV dans le développement territorial afin qu'elles jouent pleinement leurs rôles dans un contexte de changement climatique. Début: Janvier 2014. Fin: Décembre 2015 Intérêt et pertinence pour HES et Institut: Collaboration avec différents acteurs du domaine; acquisition de nouvelles connaissances; valorisation des résultats de recherche"

Equipe de recherche au sein de la HES-SO: Bollinger Dominique , Joerin Florent , Froidevaux Sandrine , Rochefort Sophie , Consuegra David , Boivin Pascal , Steffen Julie , Gallinelli Peter , Camponovo Reto , Amos Eric , Prunier Patrice , Renaud Ewa , Varesano Damien , Palman Marie , Thomann Pascal

Partenaires académiques: hepia inPACT

Durée du projet: 01.01.2014 - 31.05.2016

Montant global du projet: 225'000 CHF

Statut: Terminé

2024

Moose und Flechten in Gärten :
Article professionnel ArODES
Resultate eines Projekts der Bryolich

Ariel Bergamini, Silvia Stofer, Christian Vonarburg, Elise Finsterwald, Julie Steffen, Susanne Amann, Sarah Beuvier, Steffen Boch, Katrin Eichhorn, Felix Hansruedi, Silvia Feusi, Christine Keller, Loïc Liberati, Michael Lüth, Markus Meier, Tobias Moser, Maggie Nägeli, Frauke Roloff, Norbert Schnyder, Ursula Tinner, Edwin Urmi, Mathias Vust, Erich Zimmermann

Meylania,  2024, 74, 15-28

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Résumé:

As part of the Bryolich project ‘Lichens and Bryophytes in Gardens’, bryophyte and/or lichen species were recorded in 28 gardens and information on environmental factors was collected in order to make data-based recommendations for bryophyte- and lichen-friendly gardens. A total of 138 bryophyte and 164 lichen species were recorded, including vulnerable and near threatened species. Most important for a high species richness in a garden is to have a high number of different habitats.

Bryophytes dans le vallon du Roulave
Article scientifique ArODES

Julie Steffen, Christine Habashi

Saussurea,  2024, 53, 81-83

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Einsatz von Sedum-Matten zur Begrünung von Schottern, Gleisen und Gehwegen in SBB Arealen :
Article scientifique ArODES
Tastversuche (2021–2023)

Markus van der Meer, Julie Steffen, Patrice Prunier, Serge Buholzer

Agroscope Science,  2024, 195, 1-22

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Résumé:

Dans le contexte des exigences croissantes de la société en matière de durabilité, les CFF s'engagent dans différents domaines pour la protection de l'environnement et la promotion de la biodiversité au niveau des installations ferro-viaires et des remblais de voie. Avec le plan d'action «NoHerbie - Alternatives aux herbicide», les CFF cherchent des possibilités de réduire au maximum l'utilisation d'herbicides tout en renforçant la protection et la promotion des plantes et des animaux. Dans d'autres domaines des infrastructures et des transports, une attention accrue est également accordée à ces aspects. Une méthode efficace consiste à utiliser des nattes de végétation garnis de plantes de sédums pour végétaliser les toits et les voies de tramway, ce qui a un effet positif sur le climat et la biodiversité tout en réduisant la pollution des eaux par les pesticides. Dans le commerce, les nattes de sédums sont proposées avec différentes espèces du genre sédum, par exemple le poivre des murailles. Ces plantes vivaces au feuillage persistant, d'une hauteur de 5 à 10 cm, résistent bien à la chaleur et à la sécheresse grâce à leurs feuilles succulentes, c'est-à-dire qui retiennent l'eau.

2021

Mousses des sources :
Chapitre de livre ArODES
élégants coussins gorgés d'eau

Julie Steffen

Dans Hapka, Roman, Lalou, Jean-Claude, Wenger, Rémy, Aux sources de la Suisse : à la découverte de l'or bleu helvétique  (pp. 140-142). 2021,  Bern : Haupt Verlag

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Im Schatten des (J)Amann
Article professionnel ArODES

Tobias Moser, Thomas Kiebacher, Markus K. Meier, Christine Habashi, Doris Kahle, Frauke Roloff, Julie Steffen, Diane Stevenson

Meylania,  2021, vol. 67, pp. 21-27

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Résumé:

En juin 2020, le Centre national de données et d’informations sur les bryophytes de Suisse (Swissbrophytes) a organisé une excursion avec pour objectif l’exploration des bryophytes de la Dent de Jaman, située en dessus de Montreux (VD), dans le massif des Rochers de Naye. La bryoflore de la région avait par ailleurs déjà été étudiée et caractérisée par Jules Amann. D’après les observations historiques présentes dans la base de données Swissbryophytes, ainsi que la liste d’espèces réalisée par Jules Amann, 83 taxa ont pu être identifiés à la Dent de Jaman avant l’excursion. Durant l’excursion, 322 échantillons assignés à 133 taxa ont été récoltés par les participants. Par rapport à la liste pré-établie, 45 taxa ont pu été confirmés, 38 n’ont pu être retrouvés et 88 taxa supplémentaires ont été détectés.

2020

Recherche-Action sur les lisières et les paysages urbains
Rapport
Livrable de synthèse final - Interreg V A France-Suisse 2014.2020

Finger-Stich Andrea, Fischer Claude, Emeline Bailly, Sylvie Laroche, Dubois Alain, Crémel Laurence, Gegout Xavier, Gondret Karine, Huber Laurent, Renaud Ewa, Steffen Julie, Claudia Bogenmann

2020,  Genève : HEPIA & CSTB,  214  p.

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Résumé:

Le territoire du Grand Genève connaît l’un des plus forts taux de croissance urbaine d’Europe. Son patrimoine naturel et culturel, sa qualité urbaine et sa qualité de vie sont mis sous tension, en particulier au niveau des lisières urbaines (LU).

Interrogeant le rapport entre la ville et la nature, notre hypothèse est que les LU présentent une opportunité d’articulation entre les lieux urbains et les milieux naturels et ruraux, et de renaturation des espaces urbains.

Une lisière urbaine est définie comme un lieu à part entière, composé de milieux divers influencés par les espaces urbanisés, agricoles et naturels qui s’y rencontrent. Ce réseau de lieux, de milieux et de liens urbains et écologiques dessine une matrice territoriale qui participe de la qualité des territoires, des écosystèmes et des paysages métropolitains.

Ce rapport de synthèse est organisé en cinq parties et aborde les aspects suivants :

Partie I : Le flou sémantique de la notion de lisière urbaine et sa faible visibilité territoriale ne favorisent pas son appréhension et sa prise en compte dans les politiques publiques et les projets urbains. Définir cette notion est dès lors un enjeu de connaissance, de méthode et de gouvernance. Revenir aux stratégies de ville nature apparaît comme une opportunité de situer les LU dans les politiques métropolitaines.

Nous avons exploré les politiques publiques afin d’en mesurer les impacts sur les LU, et pour identifier de quelles manières elles peuvent être de potentiels leviers pour conserver, restaurer et améliorer les qualités des lisières urbaines. Des enquêtes auprès de professionnels de collectivités publiques, de bureaux d’étude et de hautes écoles, nous ont permis de constater que les lisières urbaines sont peu reconnues, mais que leurs enjeux rencontrent une attention émergente.

Partie II : Au travers des différentes disciplines représentées au sein du projet, nous proposons des méthodes et analyses à trois échelles d’un territoire-test pour caractériser les qualités urbaines, ambiantales, paysagères et écologiques des LU.

Partie III : Les enquêtes sur les perceptions, les vécus et les imaginaires des lisières urbaines auprès des habitants et usagers montrent combien les lisières urbaines constituent des lieux-ressources, d’expériences sensibles et d’évocations métaphoriques. Croisant diverses méthodes d’analyse, nous relevons qu’elles sont des lieux communs intermédiaires entre le maillage d’espaces publics et privé, multi-expériences et multi-usages souvent en conflit avec la conservation de la nature et du paysage et soulignant l’effet frontière.

Partie IV : La mise en perspective de nos analyses montre que les lisières urbaines se forment et évoluent selon un ensemble de dynamiques qui créent des types de liaisons, de lieux, de compositions ou encore, d’activations sensorielles ou temporelles. Ces dynamiques favorisent des effets territoriaux, de transitions, d’ambiances et de paysages ressentis, d’effets d’écran, de bord et/ou d’écotone constituant des tiers habitats pour les humains, la faune et la flore. A partir de ces caractéristiques, nous avons élaboré une typologie des lisières urbaines et des outils pour les représenter à l’échelle de l’agglomération, de la trame et du lieu, dont une cartographie collaborative des lisières urbaines potentielles.

Partie V : Afin de qualifier les lisières urbaines de manière interdisciplinaire et participative, ancré dans un territoire et ses projets, nous avons interagi avec les acteurs du territoire test pour cristalliser les enjeux des lisières urbaines, en caractérisant leurs qualités effectives et potentielles :

  • Urbaines : confortant le maillage de liaisons douces, améliorant la qualité de composition avec les espaces urbains, naturels et ruraux adjacents, proposant un ensemble de lieux communs, complémentaires des espaces publics …

 

  • Paysagères : valorisant les prises de vue avec le paysage extraordinaire et ordinaire, confortant les pénétrantes de verdure…
  • Ambiantales : favorisant des expériences multisensorielles, sonores, visuelles, lumineuses, thermiques en contrepoint du tissu urbain environnant et de ses nuisances…
  • Écologiques : augmentant la biodiversité, et renforcer les connexions biologiques avec l’infrastructure écologique…
  • Environnementales : filtrant des polluants, captant le carbone, créant des îlots de fraîcheur, limitant les risques (inondation, érosion) …
  • Patrimoniales : repérant les traces de l’histoire transfrontalière, dont des vieux arbres, l’architecture, des savoirs et savoir-faire porteurs d’identités rurales et urbaines …
  • Nourricières : renforçant les qualités nourricières de la nature (forêt, rivière, lac) de l’agriculture urbaine et péri-urbaine ; jardinage, haies et lisières fructifères.
  • Sociales et sensibles : créant un lieu de vie partagé, permettant la cohabitation entre de multiples usages, une cogestion résiliente, un lieu de ressourcement et d’attachement à un paysage commun.

Sur la base de ces qualités et des enjeux associés, nous avons esquissé des pistes de stratégies d’action pour planifier un réseau de lisières-méandres à l’échelle de la métropole, de lisières-trames à l’échelle du bassin de vie (territoire transfrontalier Arve-Lac) et de lisières-lieux à l’échelle locale, contribuant à la qualité de vie et à la conservation des écosystème fragilisés de la métropole.

2019

Des pâturages de la Givrine au marais de la Trélasse, aperçu de quelques communautés de bryophytes, le 21 septembre 2019
Article scientifique ArODES

Julie Steffen

Bulletin du Cercle vaudois de botanique,  2020, vol. 49, pp. 55-60

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2018

Référentiel syntaxonomique genevois :
Article scientifique ArODES
inventaire et descriptif succinct des associations végétales présentes dans le canton de Genève

Patrice Prunier, Aurélie Boissezon, Laure Figeat, Florian Mombrial, Julie Steffen

Saussurea : Journal de la Société botanique de Genève,  2018, vol. 47

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Résumé:

Après avoir retracé succinctement l’histoire de la connaissance de la végétation régionale, les auteurs présentent un inventaire illustré des associations végétales présentes dans le canton de Genève en s’appuyant sur les concepts et méthodes développés pour l’inventaire national. 30 classes, 50 ordres, 89 alliances et 269 associations sont décrits dont 11 unités nouvelles, qui font l’objet de caractérisations détaillées.

2016

Welche Moose sind in der Schweiz aktuell gefährdet ? :
Article professionnel ArODES
eine revidierte Rote Liste soll Antwort geben

Ariel Bergamini, Thomas Kiebacher, Heike Hofmann, Markus Meier, Niklaus Müller, Norbert Schnyder, Edi Urmi, Julie Steffen

Meylania,  2016, vol. 58, pp. 18-22

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